L’accord de cessez-le feu au Haut-Karabakh signé le 9 novembre dernier à l’initiative du Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a consacré la victoire de l’armée azerbaïdjanaise dans ce territoire.
S’il permet d’éviter de nombreux morts supplémentaires, il interroge cependant dans son application effective. Le retour des populations déplacées doit mobiliser toute notre vigilance, tout comme la préservation du précieux patrimoine historique et culturel arménien sur les territoires de l’Azerbaïdjan et du Nakhitchevan.
L’expansionnisme néo-ottoman d’Ankara doit conduire notre pays et l’Europe à une position plus ferme.